Achèteriez-vous une propriété où une mort est survenue? Au Québec, la loi oblige les vendeurs à déclarer ce type d’événement aux acheteurs potentiels.
Écoutez Les dessous de l’immobilier avec Mélanie Bergeron et Jeffrey Subranni pour en savoir plus sur cette obligation et ses impacts sur le marché immobilier.
«Il y avait un flou jusqu'à récemment... Encore aujourd'hui, ce qu'on demande comme question précise c'est s'il y a eu une mort tragique ou un suicide dans la propriété. Les décès naturels n'entrent pas dans cette clause-là, par contre, c'est recommandé de le dévoiler.»
«Un décès dans la maison, c'est à déclaration obligatoire et ça peut réduire la masse critique d'acheteurs potentiels et éventuellement avoir un impact sur le prix.»